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région ile de france - Page 69

  • VANVES, GPSO, LES HAUTS DE SEINE MALTRAITES PAR LA REGION ILE DE FRANCE: Les élus altoséquanais ruent dans les brancards

    Cet avis « sans queue, ni tête » de la Région sur le CDT (contrat de Développement Territorial) de GPSO (Grand Paris Seine Ouest) est une nouvelle étape dans les relations conflictuelle entre le département des Hauts de Seine et le Conseil Régional d’Ile de France. Il y sera fait sûremment référence durant toute cette journée puisque le Conseil Général siége pour voter son budget 2013. D’autant plus que la pression se fait de plus en plus forte sur notre département depuis le changement de président de la République et de gouvernement qui donne des aîles à la Région, et qui vont avoir des répercussions sur le budget départemental  : Des dotations de l’Etat gelées, des péréquations instituées et renforcées depuis peu, avec des ponctions forcées de l’Etat, sans parler du développement d’un « jacobinisme régional » et de la future loi de décentralisation qui devrait créér un Fonds de Solidarité Interdépartemental en Ile de France de 60 M€ dont les principaux contributeurs seraient les Hauts de Seine et Paris, et les principaux bénéficiaires la Seine Saint Denis et le Val de Marne A tel point que Patrick Devedjian, président du CG92 déclarait lors des vœux voilà plus d’une semaine : « L’objectif solidaire, généreux et consensuel, n’est que prétexte pour appliquer une politique partisane confiscatoire » vis-à-vis des Hauts de Seine. Et de menacer « de ne plus participer au financement du prolongement de la ligne 13 ».

     

    Patrick Devedjian dans ses différentes interventions, depuis le début de l’année, comme il l’a fait lors des Vœux du Conseil Général le 15 Janvier dernier auxquels assistaient plusieurs élus de Vanves, ne manque jamais de faire état de ces aggressions dont sont l’objet les Hauts de Seine. Tout d’abord il s’en prend au  « jacobinisme régional qui s’instaure actuellement, notamment en matière de logement, et qui ne me paraît pas être un grand progrès sur le jacobinisme national que nous avons subi si longtemps ». A l’occasion du débat sur la gouvernance du Grand Paris cet automne, il déclarait que « l’acte III de la Décentralisation, c’est la montée en puissance des Régions  et surtout de la région Ile de France. Et je m’inquiéte lorsque je vois ses responsabilités étendues et la façon dont elle les exerce » Et de  citer notamment le SDRIF (Schéma directeur régional) – « c’est le goss plan »  - et surtout  le logement : « Que fait le gouvernement ? Au lieu de tenter de desserrer la pression en favorisant le développement régional, il décrète de façon arbitraire des objectifs de logements pour l’IDF. Il n’y a qu’à densifier ! Construisons des immeubles ! Détruisons l’habitat individuel !  Et cela au mépris des aspirations des habitants et au risque d’une fuite en avant dans les  problèmes insurmontables que nous connaissons déjà : une métropole asphyxiée, une circulation insupportable, une pollution nuisible pour notre santé, une concentration de populations dangereuse pour la cohésion sociale » déclarait il  lors des vœux.  

     

    Ensuite, la péréquation : « Je trouve normal de réguler les équilibres territoriaux en faisant en sorte que les mieux pourvus par la nature aident les moins bien lotis. En revanche, quand la péréquation devient prétexte à encourager la mauvaise gestion, elle est dévoyée. Je ne vois pas au nom de quoi les contribuables des Hauts-de-Seine devraient rembourser la spéculation financière hasardeuse ou les choix politiques désastreux de notre voisin, la Seine-Saint-Denis. Département qui n’est pas moins riche que le nôtre, mais indubitablement moins bien géré ».  Il est bien sûr revenu sur l’amendement surprise du Gouvernement dans le projet de loi de finances pour 2013 « qui modifie substantiellement – c’est le moins qu’on puisse dire – les modalités de prélèvement du fonds de péréquation de la Cotisation sur la Valeur Ajoutée des Entreprises (CVAE) qui remplace la taxe professionnelle. Dans le nouveau système, de manière totalement arbitraire, les Hauts-de-Seine seraient prélevés de 12,5M€, contre 1,6 prévus initialement, soit une augmentation de 681% ! Pendant ce temps, la ville de Paris se verrait, au contraire, appliquer une diminution de 18,5%. C’est un amendement sur mesure, qui ne s’applique qu’aux Hauts-deSeine. La péréquation est à chaque fois calculée avec des critères différents pour aboutir au même résultat : prendre à droite pour donner à gauche ».  

     

    Le rapporteur du budget, Eric Berdoati, maire de Saint Cloud a fait le calcul :« Si on additionne ses 6 M€ dû au gel des dotations de l’Etat +  les 11 M€ de ponction supplémentaire sur la CVAE et si l’on regarde tout ce qui est pris dans le cadre des péréquations  - 21 M€ pour les DMTO (droits de Mutations à Titre Onéreux) car on estime que les Hauts de Seine touchent trop - cela fait 38 M€, presque 40 M€. Ainsi nos recettes directes sur notre fiscalité – presque 926 M€ - sont  amputées de 276 M€ au titre de la péréquation car il ajouter  243 M€ au titre du Fonds National des Garanties Individuels et de Ressources (FNGIR). Ce qui commence à faire quelque chose de conséquent sur des dépenses de fonctionnement qui s’élèvent aux alentours de 1,4 milliard d’euros dont 700 M€ consacrés à la solidarité ». Pour lui, « ces péréquations qui ont commencé à être voté sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy, ont été nettement amplifiées depuis, et un peu plus orientées qu’elles ne l’étaient dans le passé. Si le principe ne me choque pas forcément, en revanche, ce qui me scandalise c’est de ponctionner des collectivités pour verser à d’autres qui en bénéficient et qui n’ont aucunes mesures contraignantes de retour à l’équilibre »

     

    Enfin, le président du Conseil Général n’hésite plus à faire part  de son ras le bol d’entendre dire que les Hauts de Seine doivent payer. « Les élus altoséquanais n’ont pas de leçon à recevoir ! Une vingtaine de dispositifs nous  sont défavorables parce que nous sommes réputés riches. Les crédits d’Etat de l’ANRU se monte à 22% dans le 92 et à 29% ailleurs. Nous payons plus cher que les autres départements pour le STIF (92 M€) soit plus que la Seine Saint Denis et le Val de Marne réunis. Et la DGF est moindre qu’ailleurs. Alors que les Hauts de Seine, ce sont 13% de la population francilienne, 16% des revenus et 18% des impôts. La péréquation va absorber 1/3 de nos recettes alors que dans le même temps, l’Etat nous transfère des charges comme l’APA. Et on a perdu l’autonomie fiscale »  expliquait-il voilà peu  en constatant  : « le 92 a les mêmes recettes fiscales que le 93. Il faudrait que nous, qui avons été à peu près raisonnables ... nous réduisions les prestations accordées à nos populations pour financer les emprunts toxiques que la Seine-Saint-Denis a inconsidérément souscrits. C'est totalement immoral. Tout n'est pas homogène dans les Hauts-de-Seine ... les populations sont mélangées, contrastées. Il y a des riches et des pauvres. Et s'il y a davantage de pauvres en Seine-Saint-Denis que dans mon département, c’est la conséquence d'une volonté délibérée des élus pour avoir une population assez sûre sur un plan électoral ». Et il n’est pas en reste vis-à-vis de la ville de Paris  Paris avec laquelle « il n’y a aucune concertation. Il suffit de voir la gestion des portes de Paris ! » - Vanves en sait quelque chose avec la Porte Brançion, sans parler du lycée Michelet où certains investissements ont été retardés ou décalés (rénovation des équipements sportifs) et même abandonnés (ouverture d’une partie du parc du lycée) parce que la Région refusait d’aider uner commune considérée comme riche dans un département riche -   et en dénonçant la politique de Bertrand Delanoë « qui consiste à interdire Paris aux banlieusards et à chasser ses habitants en banlieue ».    

  • CDT GPSO : LE MAIRE DE VANVES PORTE PAROLE DE GPSO FACE A UNE REGION BIEN EN PEINE

    L’un des temps fort de la Commission permanente d’hier matin à la Région Ile de France a été l’examen de l’avis du Conseil Régional sur le CDT (contrat de Développement Territorial) de GPSO (Grand Paris Seine Ouest) qui a donné lieu à un grand exercice d’hypocrisie. Il n’était ni favorable, ni défavorable. « C’est pas un signe encourageant pour les territoires participant au projet du Grand Paris et de Grand Paris express » a constaté Bernard Gauducheau, maire UDUI de Vanves et vice président de GPSO en relevant que ce CDT était le premier à être soumis à l’avis du Conseil Régional puisque maintenant Région et dépatements sont signataires des CDT.   

     

    L’exécutif régional a tenté d’expliquer avoir voulu discuter davantage avec GPSO « car ce CDT est intéressant au niveau des objectifs, mais insatisfaisant au niveau des actions. Il a été signé alors qu’il n’a pas été présenté à nos services. Nous avons été mis devant le fait accompli ! ». Des arguments réfutés par Bernard Gauducheau (UDI) : « Les services de la Région qui ont été conviés et présents à toutes les réunions  de travail durant l’élaboration du CDT  n’ont jamais fait mention d’aucunes des observations contenues dans ce rapport. La délibération que vous présentez est ainsi surprenante d’autant plus que les arguments développés ne sont pas convaincants ». L’UMP a fait part de sa perplexité  : « Pourquoi la Région donne un avis mal ficelé et présentant des contre-vérités. Parce qu’il fallait rapidement rendre cet avis, car si vous ne l’aviez pas fait, il aurait été considéré comme favorable. Ce CDT est particulièrement complet. Vous reconnaissez que ses perspectives sont bonnes. Et vous rendez un avis avec de nombreuses contradictions ».  EELV n’a pas manqué de demander « qu’il faudra expliquer pourquoi l’Etat l’a avalisé »

     

    La Région dans son avis « regrette que le projet de CDT ne comporte pas de projet de territoire complet, au-delà de l’accent particulièrement appuyé autour du numérique, qui doit s’inscrire dans une vision régionale partagée » mais il reconnait « l’intérêt des orientations du projet stratégique de développement » s’appuyant sur 3 moteurs : la ville numérique, créatrice et durable. Elle constate que « certains projets de transports en commun inscrit dans le projet de  CDT ne figurent pas dans le cadre fixé par le Plan de Mobilisation pour les transports, les projets de PDUIF et de SDRIF ».  Elle regrette que « l’objectif de réalisation de logements sociaux soit inférieur au taux de 30% que préconise le projet de SDRIF ». Elle demande enfin que « l’objectif de développement équilibré en faveur des populations et des entreprises locales, en particulier des plus petites entreprises soit mieux affirmé afin de favoriser une plus grande diversification en termes d’emploi, en cohérence avec la SRDEI (Stratégie régionale de développement Economique et d’Innovation » 

     

    Bernard Gauducheau a démonté tous ses arguments à travers trois amendements qui ont été déposés par son groupe et rejetés par la majorioté PS-PS-EELV-PC-PG. Il n’a pas manqué de relever une contradiction dans cet avis qui nie l’existence d’un projet de territoire et de l’autre reconnait « l’intérêt des orientations du projet stratégique de développement durable de ce CDT ». Il a rappelé que certains projets de transports figuraient dans le plan de Mobilisation, d’autres dans le PDUIF  (Plan de déplacement)  et le SDRIF (Schéma Directeur Régional) en citant les projets de qaurtiers de la gare Pont de Sévres, Issy-RER, Fort d’Issy/Vanves/Clamart, le prolongement de la ligne 12 du métro et des TCSP « Croix du Sud (Antony-Clamart) » et  Val de Seine. Il a indqué que « le PLH (Plan Local de l’Habitat) arrêté le 20 Décembre 2012 engage GPSO sur un objectif de production globale de 650 Logements sociaux/an ( 500 par  production neuve et 150  par agrément dans le parc ancien) soit 32,50 de l’objectif de territorialisation des objectifs de logements (TOL) de 2000, qui me semble supérieur aux objectifs en valeur absolue de l’avant projet de SDRIF »  Enfin, il a relevé qu’à ce jour, « 80% du tissu économique de GPSO est composé de PME et de TPE. « GPSO n’a pas attendu vos recommandations dans la mesure où plusieurs structures permettant d’accueillir ce type d’acteurs économiques existent ou sont en projet (pépinières d’entreprises, hôtel des métiers d’arts…) »

  • STADE DE VANVES : UNE AG PLEINE DE PROMESSES

    L’assemblée Générale du Stade de Vanves s’est tenue vendredi soir dans la salle des cinéastes qui se trouve dans un équipement sportif, la piscine municipale baptisé par Christine Caron du nom de Roger Aveneau conseiller général UDF maire adjoint chargé des Sports de Gérard Orillard,  tout à côté du Parc Municipal des Sports. Un choix judicieux même si les dirigeants de cette association omnisports se sont rabattus là face aux difficultés à trouver une salle selon son président qui préfére Panopée et a posé les jalons dés maintenant pour la réserver pour l’AG 2013. Preuve que les équipements municipaux sont très sollicités par les associations très actives de Vanves comme n’a pas manqué de le faire remarquer Bernard Gauducheau maire de Vanves présent avec Maxime Gagliardi, maire adjoint chargé des Sports et quelques élus.

     

    Bruno Chauvet qui a reconnu « n’être pas à l’aise dans cet exercice » a animé cette AG durant une heure et demie et fait le bilan de la saison 2011-12 qui a débuté avec un terrain de football synthétique à la Rentrée 2011 et terminée avec de bons résultats pour certaines sections dont a fait état, avec partialité,  un  film sur la restropective de la saison des sections présenté par un président « très à l’aise » devant la caméra  : Hand en Nat.3, Basket en Nat.2 avec une finale malheureusement perdue à Bercy en Coupe de France, Montée du tennis en 1 B, « résultats individuels très riches »…pour les autres sections, alors que, par exemple, mais cela n’a pas été dit par le président, les Boules Lyonnaises ont vu la participation de 4 équipes à des championnats de France pour la première fois depuis plus de 10 ans. Ce qui a créé quelques mécontents d’autant qu’il a eu tendance à mettre en « très en avant » le basket  alors que ces prédécesseurs s’attachaient à garder une  certaine neutralité. Par contre il n’a pas oublié de parler des J.O. de Londres auxquels ont participé deux vanvéens dont Djamel Mastouri : « Une blessure m’a empêché d’être à 100%. Mais pour une personne handicapé c’est formidable de réussir à être sélectionné, d’y participer en se donnant pour objerctif de ramener une médialle. Vanves m’a donné des chances pour gagner » a expliqué ce jeune athléte, militaire de carrière  qui a combattu en Bosnie et au Kosovo, qui a intégré les Invalides pour remettre sur pied grâce aux sports les soldats blessés de retour d’Afghanistan. Un témoignage fort durant cette AG. 

     

    Les adhérents sont passés de 3800 à 4500  dont 74% de vanvéens en moins d’un an grâce notamment aux sections tennis, natation notamment. Ce qui comencent à poser des problémes de créneaux horaires  dans des équipements sportifs qui souffrent de cette sur-fréquentation et s’usent (parquet du gypmnase A.Roche deux ans son remplacement par exemple)  mais aussi d’actes d’incivilités. Des sections ont dû limiter les adhésions car elles ne disposent plus de créneaux horaires supplémentaires dans ces équipements sportifs. Par contre le Stade de Vanves a réussi à organiser quelques grandes manitestations comme la tombola et la conférence sur la nutrition qui n’ont pas été un grand succés, la course de Noël des enfants de 6 à 12 ans dont la prochaine édition est prévue le 23 Décembre,  la journée Porte Ouverte pendant le forum des associations qui ont attiré du monde et sur laquelle un effort devra être fait sur les démonstrations en extérieur, le gala de fin d’année qu’il faudrait raccourcir, ont été un grand succés

     

    UN DIRECTEUR ADMINISTRATIF ET UNE COMMISSION LOGISTIQUE

     

    Il a annoncé la création d’une commission logistique pour travailler sur la planification des installations pour chercher à satisfaire le maximum de sportifs, en se félicitant de l’annonce de la rénovation des équipements sportifs du lycée Michelet dont profitent certaines sections du Stade de Vanves, et de l’ouverture d’une salle de musculation qui apporte un plus à l’athlétisme mais aussi aux équipes premières d’autres sections. Tout en notant que la Section Tennis espére un jour couvrir ses cours green set, que  le Hand cherche à avoir un accès plus facile au Palais des Sports (de GPSO parait il) à Issy les Moulineaux. Il a annoncé la prochaine embauche du responsable administratif qui avait été demandé et accordé par la ville l’année dernière, après la signature d’une convention de partenariat avec la ville qui officialise les engagements de chacun comme l’a assuré le Commissaire aux Comptes. Ce dernier a indiqué que le budget de 1,4 M€ du stade de Vanves en une structure semblable à une PME de 15 personnes.

     

    Bernard Gauducheau a reconnu qu’il était inévitable qu’avec ce nombre d’adhérents qui sollicitent beaucoup les équipements sportifs de la ville,  il y ait des usures en dehors des malfaçons – dont personne n’est à l’abri – et des dégradations. « Nous essayons de les entretenir le rigoureusement possible » a-t-il indiqué en demandant de l’indulgence et en rendant hommage au travail d’emmanuel Clérin depuis un an « qui fait son possible. Nous travailllons et oeuvrons ensemble pour le sport et les sportifs en faisant le mieux possible. Il fait se serrer les coudes car la période n’est pas simple. Vanves ne bénéficie pas d’une structure privilégiée. Il faut faire attention, car nous n’avons pas de moyens démesurés » a-t-il expliqué en rappelant que « les impôts n’ont pas été augmentés depuis 3 ans. Nous essayons de gérer et de continuer ainsi. Je ne vais pas aller camper devant l’assemblée nationale pour demander des sous. Et si c’était le cas, je ne ferais pas » a t-il ajouté en rappelant que la suvention au Stade de Vanves est passé de 274 000 à 434 000 € entre 2001 et 2012, avec des suventions exceptionnelles.

     

    RECONSTRUCTION DU GYMNASE A.ROCHE

     

    Le maire a insisté la volonté de la ville d’améliorer ses installations sportives en donnant les pistes lesquelles travaille l’équipe municipale : Reconstruire le gypmnase André Roche (et non édifier un troisiéme) en donnant la possibilité d’y exercer de nouvelles disciplines. Utiliser les installations spôrtives du Lycée Michelet  « qui permettrait de doubler notre capacité si nous y avions accés ». D’autant plus que leur rénovation –car beaucoup sont inutilisables à cause de leur vétusté et dégradation -  a été inscrite dans le PPI (prgramme Prévisionnel d’Investissement) 2012-22 voté Jeudi à la Région comme il l’a rappelé. « J’ai provoqué une réunion avec le lycée, la Région, le conseil Général pour trouver une solution afin d’accélérer leur rénovation avec un financement de la ville à hauteur de leur ouverture aux vanvéens ». Enfin profiter de la rénovation du collége Saint Exupery pour trouver une solution pour l’utilisation de son gymnase en sécurisant son accés en dehors des heures scolaires.  Il a terminé sur le partenariat avec Issy les Moulineaux qui permettra aux sections Boules Lyonnaises et Pétanque de Vanves de profiter d’un boulodrome couvert en construction prés du Fort d’Issy. Espérons que ce n’est pas  pour aboutir au même résultat que l’accessibilité du Palais des Sports de GPSO aux équipes de hand !